[... Je préférais croire que Marrakech devait sa couleur rouge à une blessure, plutôt qu'aux talents de peintres en bâtiments. Lorsqu'on a planté le minaret de la Koutoubia au cour de la ville, clamait-il, celle-ci a tellement saigné qu'elle a gardé sur les murs des maisons cette couleur vermeille omniprésente. Il affirmait aussi que nous devions l'immense palmeraie avoisinante aux noyaux jetés par des nomades ayant assiégés la ville autrefois...] p. 8


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